Bonsoir,
Je pencherais plus pour la ville de
Senlisse (78) ancienne Seine-et-
Oise.
Pas de Tables Décennales ….
Je ne retrouve pas le document, mais un Louis-Gerôme PERROT est domicilié à Pussay (91) à 45 km de Senlisse (78).
Comme il est Chevalier de la Légion d’Honneur, j’ai cherché dans la base Léonor, mais en vain.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... k=278971;2
Monsieur PERROT
Inventeur de la Perrotine
membre de la Légion d’Honneur
64, rue de Sèvres (Vaugirard) Paris 75015
http://data.decalog.net/enap1/Liens/Gaz ... 520213.pdf
Constitution, le 1.2.1852 de la Société PERROT & Cie
https://www.geneanet.org/archives/ouvra ... 960d987bc6
Louis Jérôme Perrot, ingénieur civil à Rouen. Il obtient, le 25 août 1830, un certificat de brevet d'invention de cinq ans, pour «des appareils propres à imprimer sur les tissus plusieurs couleurs à-la-foïs au rouleau». Sources : BL.
https://www.geneanet.org/archives/ouvra ... d21d73850e
· PERROT (LOUIS-GÉRÔME). Ingénieur civil, né à Senlis (Oise) en 1798. ll se livra surtout à l'étude de la mécanique, et se fit connaître pendant son séjour à Rouen, par l'invention d'une machine à imprimer les tissus (V. IMPRESSION DES TISSUS, § Impression mécanique) à laquelle il donna son nom, et qui constituait à cette époque (1835), un très réel progrès ; pendant six ou sept ans cette machine a produit une véritable révolution dans l'industrie, et bien que vers 1843, l'invention du rouleau ait fait cesser dans quelques ateliers remploi de la perrotine, il existe encore aujourd'hui, dans divers pays, des établissements qui se servent de cette machine. Il appliqua, quelques années après, le même système à la confection de machines lithographiques. Les perrotines sont aujourd'hui presque abandonnées. Ces deux découvertes lui valurent, le 26 juillet 1839, la croix de la Légion d'honneur. Perrot quitta Rouen ea 1843, pour aller se retirer à Paris; il continua è s'occuper de mécanique industrielle, et en 1848, remporta un prix de 1,500 francs, créé par la Société d'encouragement. En 1870, il fit partie du Comité d'organisation de la défense nationale, et mourut à Vaugirard, à Page de 80 ans, le 20 septembre 1878. On conserve de Perrot, au Louvre, dans le musée de la marine, un canon-revolver, fabriqué avant 1850, l’un des premiers types de ces armes qui devaient nous doter des mitrailleuses. — J. C.
C'est passionnant.
GLedoux